« Le jazz ce n’est pas ce que l’on joue mais la façon dont on le joue » – Miles Davis
Nous aimons paraphraser Miles Davis en affirmant que, tout comme le jazz, le management ce n’est pas ce que l’on fait mais la façon dont on le fait… En d’autres termes, que le management est avant toute chose affaire de relations humaines, de femmes et d’hommes qui œuvrent ensemble.
Le meilleur des projets stratégiques n’est rien sans l’inspiration du directeur chargé de le mettre en œuvre. La plus argumentée des communications internes est mal reçue et mal interprétée si les actes de l’encadrement viennent la contredire. Le plus fin des dispositifs d’intéressement devient inopérant sans la sincérité de la reconnaissance exprimée par le supérieur hiérarchique.
Si les organigrammes, les plans d’actions, les procédures, les indicateurs ou les entretiens d’évaluation sont nécessaires à un « bon management », l’essentiel réside dans les qualités du manager. Ce principe guide l’ensemble de nos interventions, et notre expertise des outils ne nous le fait jamais perdre de vue.
En résumé donc, l’homme est bien le cœur de tout dispositif de management. Avec son intelligence, pour comprendre et puis savoir ce qu’il faut faire. Avec ses émotions, pour ressentir et puis donner envie de faire. Avec son tempérament, pour oser faire.